Le contact direct avec la clientèle est gratifiant. Voilà pourquoi de nombreux entrepreneurs se lancent aujourd’hui dans l’ouverture d’un magasin pour mieux représenter leurs activités. Avant la mise en place de l’enseigne, il faut songer au concept, mais aussi au positionnement commercial. Puis on procède à la recherche de la bonne adresse avant de passer au statut juridique.
Une activité en franchise ou en indépendant
Une étude de marché précèdera toujours l’ouverture d’une entreprise, quelle que soit la nature de son activité. Aussitôt fait, et après avoir étudié et analysé les informations collectées, on passe à la seconde étape. Travailler en indépendant ou en franchise est aussi deux avantages de profiter d’une certaine autonomie dans le lancement de l’enseigne. Cela dit, une activité en franchise jouit du soutien de l’enseigne à laquelle on est rattaché, à son marketing ainsi qu’au réseau de fournisseurs. Être dans l’indépendant en revanche permet de ne pas subir la pression imposée par les marques.
La bonne adresse pour établir la boutique
Le positionnement physique de la boutique aura un impact certain sur sa notoriété. La localisation du commerce influence effectivement le chiffre d’affaires, mais également la fréquentation du point de vente. Se situer en centre-ville est l’idéal, dans une rue passante de préférence. Mais le loyer peut très vite grimper. Il faut également tenir compte des environs si on compte installer le magasin en ville. Par exemple, une bijouterie ne se placera pas près d’une boulangerie ou un fast food dans un quartier huppé. Le choix de la localisation dépend donc du type d’activité.
Le statut juridique adapté à une boutique
Une boutique est une entreprise à part entière. En créer une signifie donc de choisir un statut juridique. A cet effet, il existe de nombreuses possibilités. On citera entre autres le SAS ou Société par action simplifiée, ou encore la SARL ou Société à responsabilité limitée, etc. Le choix du statut dépend de divers paramètres tels que le nombre d’associés ou d’actionnaires. On parle également du régime fiscal et de la responsabilité des associés par rapport aux dettes de la société.